Les deux tours d’habitation du Le Montérégien se caractérisent par des étages ne logeant que quatre spacieuses copropriétés, dont les entrées se situent à moins de deux mètres des deux (2) ascenseurs. Chaque condo peut compter sur un ou deux espaces de stationnement dans l’un des deux étages de garages souterrains. Construit en 1989, il ne restait qu’à mettre à niveau ses caractéristiques originales pour s’assurer d’un ensemble dont la qualité de vie et le rendement sur investissement dépassent largement la moyenne.

Tous ces atouts se devaient d’être rafraichis. Les copropriétaires, sous l’impulsion d’un conseil d’administration dynamique, ont résolus d’investir massivement dans une mise à niveau sensationnelle. Des travaux de plusieurs millions ont transformé aussi bien l’extérieur que l’intérieur de nos édifices. On nous dit que de l’extérieur qu’il ressemble à la proue d’un navire de croisière...

La décoration des espaces communs s’est avérée être le départ des rénovations. Par la suite, tout y a passé: Les toits ont été refaits, les garages sous-terrain reconstruits, l’enveloppe externe des bâtiments, de leur isolation complètement rebâtie, les fenêtres rajeunies, les portes-patios ajustées. Même l’aménagement paysagé et la tourbe ont été refaits. Tout a été revu et amélioré.

À cela s’ajoute notre salle communautaire, munie d’une bibliothèque bien garnie, d’une cuisine pour réceptions, des installations sportives comptant deux tennis à l’extérieur, une salle d’exercice et des saunas. Le mur vitré de la piscine et du spas permet de voir la neige tomber ou les copropriétaires profiter d’un patio entouré de verdure.

Le syndicat des copropriétaires assume aussi la source et le coût du chauffage et de la climatisation centrale à tous les condos. La révision de la mécanique du bâtiment comme les tours d’eau, pompes, chauffe piscine, chaudières écologiques et autres équipements de sécurité a aussi fait partie de la mise à niveau. Résultat : Une construction super solide, tout béton, version 2020.

C’est ça le « Le Montérégien Nouveau »